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Partners

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les avis de Cinemasie

4 critiques: 1.44/5

vos avis

8 critiques: 1.94/5



Arno Ching-wan 0.5 Exilez le ! !
jeffy 1.5 Mauvais ou peu s'en faut
François 1.75 Quelques idées mais un manque certains de moyens et de réalisation
Anel 2
classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement


Exilez le ! !

Comme dans Exiled, des cow boys portent des lunettes noires, roulent des mécaniques etc. C’est tout. Le budget semble minime (pas certain !) mais ça n’est pas une excuse. A aucun moment imagination, humour, mise en scène, scénario, bons dialogues, rebondissements et autres chorégraphies innovantes ne viennent pointer le bout de leur nez. C'est naze. La palme : le soundtrack, issu du synthé de mon neveu. Il est à l’origine d’une bonne blague : une (jolie) fille s’en va danser en disant « Oh, j’adore cette chanson ! » alors qu’on n’entend que trois notes pourraves. « Ting, tang, toung ». Quant aux acteurs, ils ne font que cachetonner. Alors ami, fais comme eux, cache ton nez et va t’en sniffer une autre pellicule. Ailleurs, y’en a.



12 juillet 2007
par Arno Ching-wan




Mauvais ou peu s'en faut

C'est extrêmement désagréable de voir des acteurs de cette qualité mélés à une telle médiocrité. Que le scénario soit insignifiant passe encore, mais la mise en scène arriverait à gâcher n'importe quelle histoire. Les mouvements de caméra désordonnés voudraient parvenir à donner un style mais n'engendre que confusion. Certes quelques jeux de lumières sont intéressants, mais l'ensemble est tel qu'on a plutôt l'impression d'assister à une démonstration qu'à un film. Sentiment de gâchis donc et film à éviter dans la mesure du possible malgré quelques belles pauses de Simon Yam.

19 avril 2005
par jeffy




Quelques idées mais un manque certains de moyens et de réalisation

Il y a quelques bonnes idées dans Partners et une certaine envie de faire un hero movie à la John Woo. Des larmes et du sang donc, avec une histoire de groupe qui se fissure. Evidemment l'originalité n'est plus de mise, et ni la réalisation ni l'interprétation ne font sortir le film de la série B bien moyenne.

Pourtant, il y avait quelques bons passages. La musique est assez bien utilisée, mixant classicisme et modernité, comme pour souligner que le film se veut une version moderne des anciens classiques. Les mélanges de musique électronique et classiques sont rarement mémorables, mais le thème classique est assez joli. On remarque également quelques plans statiques aux couleurs et cadrages bien trouvés.

Mais d'un autre côté, la réalisation est nettement moins convainquante lors des scènes dynamiques, avec un aspect vidéo assez dommageable. On sent le manque de moyens et la nécessité de tourner caméra à l'épaule. Pourtant, le film se permet d'aller tourner en Thaïlande... Allez y comprendre quelque chose. De plus, les choix de réalisation montrent un certain amateurisme, notamment pour quelques effets gores. On est tout de même très loin de l'organisation du chaos de John Woo. Ici les scènes d'action se regardent mais ne marquent absolument pas. A noter aussi une violence souvent gratuite qui rend le film un peu malsain par moments.

Quant au casting, on se demande un peu ce que viennent faire trois noms comme Eric Tsang, Simon Yam et Michael Wong dans ce film à petit budget. Evidemment, ils apportent un certain vécu à leurs personnages, mais ceux-ci manquent de développement. Malgré ses 1h20, le film ne semble pas très rythmé, la faute à un scénario manquant de profondeur et rendant la plupart des dialogues peu intéressants. On sent l'histoire plus ébauchée que développée, et les passages importants ne sont pas assez marqués. Les personnages secondaires manquent vraiment de profondeur, comme les policiers dont le destin nous indiffère totalement.

Au final, le manque de moyen, de développement et de réalisation sont rédhibitoires, et font de Partners une série B de niveau bien moyen. Elle est tout de même sauvée de la noyade par son ambiance mélancolique et quelques passages. Les nostalgiques des vieux heros movies y trouveront quelques souvenirs, mais ceux-ci sont flous, comme sils s'évanouissaient avec le temps.



11 juillet 2002
par François


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